1 1 2 – Hymne à la bagagerie

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(Musique : Julien Clerc)

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Je vois les passants si sages (trabadabaga)
quand ils regagnent leurs cages (trabadabaga)
et qu’ils traversent la nuit (trabadabaga)
sans un souci sans un bruit. (trabadabaga)
Oui mais quand la rue n’est plus très sûre,
que les trajets se fissurent, (se fissurent)
que les bagages débordent (trabadabaga)
tout entrelacés de cordes, (trabadabaga)
moi, je pense à la (trabadabadaba) bagagerie !
Nous pensons à la (trabadabadaba) bagagerie !
Je vois qu’il n’y a pas d’âge (trabadabaga)
pour rôder dans les parages (trabadabaga)
et pour moins craindre la pluie (trabadabaga)
que de vivre dans l’ennui. (trabadabaga)
Oui mais quand viennent à manquer les murs,
que la rue n’est que murmure, (que murmure)
qu’il faut sortir de la horde (trabadabaga)
pour éteindre les discordes, (trabadabaga)
moi, je pense à la (trabadabadaba) bagagerie !
Nous pensons à la (trabadabadaba) bagagerie !
Je vois qu’au fond du mirage (trabadabaga)
chacun retrouve son visage, (trabadabaga)
que plus personne ne fuit (trabadabaga)
l’ombre qu’il traine derrière lui. (trabadabaga)
Oui mais quand la rue n’est plus qu’injure
pour ceux qui s’y aventurent, (aventurent)
qu’il est grand temps qu’on s’accorde, (trabadabaga)
que cet ordre on le saborde, (trabadabaga)
moi, je pense à la (trabadabadaba) bagagerie !
Nous pensons à la (trabadabadaba) bagagerie !
Moi, je pense à la (trabadabadaba) bagagerie !
Nous pensons à la (trabadabadaba) bagagerie !
Moi, je pense à la (trabadabadaba) bagagerie !
Nous pensons à la (trabadabadaba) bagagerie !
Moi, je pense à la (trabadabadaba) bagagerie !
Nous pensons à la (trabadabadaba) bagagerie !
Moi, je pense à la (trabadabadaba) bagagerie !

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